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MON DICTIONNAIRE SUBJECTIF DE L'ALPHABET : Y

1 mai 2022

Lynch / Pythagore / Fléchelle / Goscinny / Uderzo / Sacco-Zagaroli / Virgile / Bouillot / Galien / Mermet / Mélenchon / Goethe

Enfin, j'y suis. Où ? A l'Y, où j'ai fini par arriver en suivant, sans le quitter d'une lettre, telle une main courante ...

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MON DICTIONNAIRE SUBJECTIF DE L'ALPHABET : X

17 avril 2022

Mangold / Cash / Phillips / Jackman / Keen / Stevens / Stewart / McAvoy / Lee / Kirby / Braudel / Sarkozy / Pierrot / Descartes / Al-Khwârismî / Röntgen / Kafka / Foucault / Hitchcock / Newman / Donath

Dans le déferlement des films de super-héros et super-héroïnes de ces dernières années (en majorité des films Marvel), Logan, réalisé en 2017 par James Mangold (dont j'ai aimé le biopic Walk the Line sur la vie de Johnny Cash, et Le Mans 66), appartient, avec le Joker ...

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MON DICTIONNAIRE SUBJECTIF DE L'ALPHABET : W

3 avril 2022

August / Dieterle / Hermann / Huston / Wagner / Poe / Hergé / von der Vogelweide / Edmond et Jules de Goncourt / Malle / Delon / Clément / Losey / Francard / Robert / Littré / Larousse / Fogarty / Geneviève et Robert Fléchelle / Denise et Claude Fléchelle / Jacques Chion / Gambier / Santune / de Nerval / Descartes

Magnifiquement éclairé dans un style expressionniste (avec quelques effets de fumée), par le chef-opérateur Joseph H. August, dont je parlais dans le n°73 d'Entre deux images, Le Diable et Daniel Webster est une de ces œuvres méconnues que le DVD nous a permis de découvrir. Une comédie fantastique réalisée en 1941 par William Dieterle (né allemand et ensuite naturalisé américain), avec une musique de Bernard Herrmann, dans laquelle Walter Huston (voir mon blog 76 d'Entre deux images), joue, sous le pseudonyme de Mr Scratch, un diable très convaincant, qu'on voit ici dubitatif. Pourquoi penser à cet acteur puissant ? Parce que, je ne sais pourquoi, le compositeur de musique « sérieuse » que le petit garçon que j'étais avait envie de devenir (sans se douter qu'il le deviendrait un jour à travers une forme dont il ignorait tout, la musique concrète) portait dans son rêve d'enfant le nom de Walter, prononcé à l 'anglaise « Oualtère ». Je me faisais de ce Walter une image très physique, il gesticulait comme un chef d'orchestre cependant que je jouais mentalement une mélodie que j'avais inventée ou cru inventer. Si mes mains m'ont servi plus tard dans ma création musicale, c'est pour actionner des magnétophones et des synthétiseurs, brancher des câbles, créer des sons par frottements, faire des « crayonnés » avec la bande magnétique, etc. ...

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